Des données de patients atteints par la COVID-19 mises en vente
La semaine du 18 janvier 2021, deux personnes ont été arrêtées pour avoir vendu des données provenant des systèmes de santé sur les réseaux sociaux Telegram, Snapchat et Wickr.
La semaine du 18 janvier 2021, deux personnes ont été arrêtées pour avoir vendu des données provenant des systèmes de santé sur les réseaux sociaux Telegram, Snapchat et Wickr.
La CNIL met en garde contre une nouvelle arnaque : des groupes très organisés se servent de l’entrée en application du règlement européen sur la protection des données pour soutirer de l’argent aux médecins, artisans, commercants…
Depuis l’entrée en application du règlement général sur la protection des données, la CNIL reçoit de nombreuses demandes de la part des professionnels de santé libéraux pour comprendre ce qui change ou non. La CNIL propose donc de répondre aux questions les plus fréquemment posées, en attendant la parution prochaine d’un guide pratique en partenariat avec le CNOM.
Depuis l’entrée en application du règlement général sur la protection des données, la CNIL reçoit de nombreuses demandes de la part des professionnels de santé libéraux pour comprendre ce qui change ou non. La CNIL propose donc de répondre aux questions les plus fréquemment posées, en attendant la parution prochaine d’un guide pratique en partenariat avec le CNOM.
Dans une enquête, France Inter affirme que Doctolib protège mal les données transitant via sa plateforme de rendez-vous et de téléconsultation, car Amazon et l’entreprise elle-même auraient accès à ces informations. Le sujet est en réalité plus complexe. La licorne protège bien les données les plus sensibles grâce à un protocole de chiffrement de bout en bout conçu par la start-up Tanker. Mais le reste des données est également chiffré et n’est pas accessible par n’importe qui.
Certaines collectivités sont amenées à contribuer aux opérations de vaccination, par exemple pour l’information des publics ou encore la gestion de centres de vaccination. Dans une publication du 19 février, la Cnil rappelle les données qui sont mobilisables et les règles qui s’y appliquent.
Suite à une saisine de la CNIL, le tribunal judiciaire de Paris a demandé aux fournisseurs d’accès à internet (FAI) de bloquer l’accès à un site hébergeant des données de santé de près de 500 000 personnes. La CNIL, qui a déjà mené trois contrôles sur cette fuite de données, poursuit ses investigations.
Récemment informée de la publication sur internet d’un fichier contenant des données médicales de près de 500 000 personnes, la CNIL répond aux questions des personnes potentiellement concernées.
La Cnil, gendarme de la protection des données personnelles, a lancé mercredi des contrôles pour établir les manquements responsables de la fuite de données médicales qui a touché près de 500.000 personnes en France, a-t-elle indiqué à l’AFP.
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