L’anonymisation des données
Dans le cadre de l’open data, l’anonymisation permet de publier en ligne des informations publiques sans données personnelles. Quelles sont les méthodes applicables et les règles à respecter ?
Dans le cadre de l’open data, l’anonymisation permet de publier en ligne des informations publiques sans données personnelles. Quelles sont les méthodes applicables et les règles à respecter ?
La Commission européenne publie un rapport d’évaluation sur le RGPD à l’occasion de son deuxième anniversaire. Dans l’ensemble, le bilan est plutôt positif : ce texte protège efficacement les données personnelles des citoyens. Toutefois, des correctifs peuvent être apportés, en particulier sur la faible coopération entre les différentes autorités de contrôle qui provoque un éclatement de l’application du RGPD dans l’UE.
Jusqu’au 1er juillet 2021, les entreprises françaises n’auront pas besoin d’encadrer les flux de données personnelles vers le Royaume-Uni au moyen de garanties appropriées prévues par le RGPD pour les transferts vers les pays tiers. En effet, dans le cadre du Brexit, l’Union européenne vient de trouver un accord avec Londres.
Il est temps de revenir sur 2020, année qui a mis à rude épreuve la cybersécurité en France et partout ailleurs dans le monde. La pandémie de COVID-19 aura demandé aux entreprises de revoir entièrement leurs modèles de travail et fait apparaître de nombreuses failles de sécurité.
Depuis l’entrée en application du règlement général sur la protection des données, la CNIL reçoit de nombreuses demandes de la part des professionnels de santé libéraux pour comprendre ce qui change ou non. La CNIL propose donc de répondre aux questions les plus fréquemment posées, en attendant la parution prochaine d’un guide pratique en partenariat avec le CNOM.
Depuis l’entrée en application du règlement général sur la protection des données, la CNIL reçoit de nombreuses demandes de la part des professionnels de santé libéraux pour comprendre ce qui change ou non. La CNIL propose donc de répondre aux questions les plus fréquemment posées, en attendant la parution prochaine d’un guide pratique en partenariat avec le CNOM.
Tout internaute a la possibilité de demander à un responsable de site web que ses données personnelles ne soient plus diffusées en ligne, et que les pages diffusant ces données ne soient plus indexées par les moteurs de recherche. En tant que responsable d’un site web, comment répondre à ces demandes ?
L’application ne sera plus destinée au seul pass sanitaire et à une poignée d’informations localisées. Un projet de décret, approuvé par la Cnil, prévoit un traitement des données de l’utilisateur afin de mieux informer celui-ci, eu égard notamment au rappel vaccinal.
La CNIL vient de publier une fiche pratique sur l’importance de l’effacement des données lorsque l’on se sépare d’un matériel informatique. Blancco y est cité.
Dans sa décision du 19 juin 2020, le Conseil d’État a validé pour l’essentiel les lignes directrices relatives aux cookies et aux traceurs adoptées par la CNIL le 4 juillet 2019. Ces lignes directrices avaient pour objet de préciser la protection juridique renforcée bénéficiant aux internautes en matière de cookies depuis l’entrée en vigueur du RGPD. En revanche, le Conseil d’État a annulé la disposition des lignes directrices prohibant de façon générale et absolue la pratique des « cookie walls », en jugeant qu’une telle interdiction ne pouvait figurer dans un acte de droit souple. La CNIL prend acte de cette décision et ajustera en conséquence ses lignes directrices et sa future recommandation pour s’y conformer.
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